Présentation de Anûko Yazanho

Nom: Yazanho

Prénom: Anûko

Village Choisi : Suna

Clan Choisi : Aucun clan (ou Yazanho, mais il ne fait pas partit des clans du forum)

Histoire: (10 Lignes Minimum ):
Anûko du clan Yazanho vivait paisiblement avec son clan au village Mabu, s'entraînant depuis son plus jeune age aux arts des ninjas. Son père Hitsuhi était le chef du clan, le plus puissant de ses membres. Condamné à rester dans l'ombre de son aîné Yamelho qui était désigné comme successeur de Hitsuhi, le jeune Anûko continua malgré tout de travailler dur pour progresser et peut être devenir plus fort que son bien aimé grand frère. Anûko portait malgré tout une grande affection à Yamelho, voire de l'admiration, et jura de devenir fort pour servir de son mieux le futur chef des Yazanho. Anûko acceptait sans rancœur le fait que c'était Yamelho qui succèderait à leur père, et se moquait tout à fait de la gloire que ce titre pourrait lui apporter. Le jeune ninja continuait de s'entrainer dans l'ombre, s'occupant de ses affaires. Lorsqu'il eut 16 ans, Anûko entra dans la milice du clan, ainsi donc que dans les forces armées du Pays de Dara et du village Mabu. C'était le temps des guerres dans cette partie éloignée du continent, et Anûko combattit durant des années aux côtés de son grand frère Yamelho. A 18 ans, il se vit attribuer le commandement d'une petite troupe de ninjas. Faisant ses preuves en menant ses hommes à la victoire, il devint capitaine, puis général à l'âge de 20 ans. Anûko n'avait pas besoin de gloire ni des honneurs. Tout ce qui importait pour lui, c'était la reconnaissance de Yamelho et de son père Hitsuhi à son égard. Tout ce qu'il souhaitait, c'était d'être considéré comme un grand guerrier par sa famille. Un jour, alors qu'il commandait sa troupe pour une mission contre un pays ennemi, il eut l'insigne honneur d'avoir à ses côtés ces deux hommes qu'il admirait tant. Il respectait Yamelho et Hitsuhi par leur sens de l'honneur, leur puissance, et leur humilité. Ainsi, il partit au front avec eux. La bataille fut brève, les Yazanho et leurs soldats l'emportaient. Mais alors arrivèrent des ninjas d'une puissance remarquable qui commencèrent à semer la pagaille dans le champs de bataille. Anûko et les autres les affrontèrent de leur mieux. Mais alors, ce fut à ce moment là que Hitsuhi perdit la vie, terrassé par l'un de ces redoutables ennemis. Fous de rage, les deux fils continuèrent la lutte... Mais alors, Anûko vit son frère se faire lui aussi abattre sous ses yeux. Ce fut un grand choc pour lui. Yamelho lui confia alors la dague Hakuya, une arme transmise de générations en générations dans la famille des chefs des Yazanho. La bataille gagnée au prix de très lourdes pertes, le jeune ninja rentra à son village, Mabu. Déplorant la perte du chef du clan et de son héritier, les Yazanho se mirent en deuil, mais n'en voulaient pas à Anûko de s'être replié ainsi. C'était celui-là même qui s'en voulaient de n'avoir rien pu faire pour sauver son frère, et ne s'en remit pas. Les membres de clan et sa famille insistèrent pour qu'il prenne la place de Hitsuhi en devenant chef, mais Anûko refusa. Il prit avec lui son armure, son sabre, des vivres, et sa dague, et partit en exile dans les Pays voisins. Il se promit de retrouver les assassins de son père et de son frère.
Ainsi, Anûko arriva après des jours et des jours de marche au village caché de Suna, ou il décida de s'installer. Il se prononça comme ninja de ce village, jurant de le servire de son mieux. A présent, Anûko Yazanho avait 25 ans.

Description Physique/Mentale:
Physique : Anûko mesure 1m78 et pèse 75kg. Ses cheveux sont noirs et lisses et lui tombent autour du visage, au ras des épaules. Ses yeux sont d'un bleu scintillant, l'orbite du droit étant barré en verticale par une mince cicatrice. Son nez est fin et droit, et une barbe en bouc pousse sur son menton. Il porte habituellement des grands vêtements blancs, mais se met une armure pour les batailles. Son pantalon est en tissu noir et il porte autour de la taille un grand ruban rouge. Il adopte un air agressif, mais parfois rêveur et pensif. A son bras gauche est accroché directement à sa chaire une longue chaîne de métal qui peut se rétracter autour du bras. Et depuis sa main gauche jusqu'à l'omoplate droite se trouvent gravés des symboles brillant tel de l'or, apparemment signes étranges laissés par la chaine.
Mentale : Assez discret et peu bavard cet homme aux allures froides et distantes, contrairement à ce que l'on pourrait penser par rapport à son comportement, ferait n'importe quoi pour ses hommes, même jusqu'à mettre en jeu sa propre vie. Il a un sens de l'honneur à toute épreuve et est prêt à tout pour mener à bien ses missions, mais pour lui, la vie de ses hommes passe avant tout. Il préfère généralement éviter les confrontations inutiles, mais lorsqu'il n'a pas le choix, il est capable de se battre jusqu'au bout. Il a en sa possession une dague transmise par son grand frère décédé, arme à laquelle il porte plus d'affection qu'à sa propre vie.

Comment connaissez vous le forum:
Je cherchais un forum récent, et j'ai trouvé sur http://www.root-top.com/topsite/nacimem/



Test RP du Clan demandé : ce n'est pas un rp pour une demande de clan, mais c'est l'histoire du moment phare de mon personnage.


Les troupes progressaient depuis déjà plusieurs minutes. Les sabres frappaient boucliers et armures dans des bruits sourds de métal, et des hurlements de toute sorte retentissaient parfois. Les lignes ennemies étaient percées. Parfois des ninjutsus étaient employés, et on pouvait entrevoir boules de feu ou éclairs parmi les armées qui s'affrontaient. Les troupes du Pays de Dara commençaient à l'emporter...
Du haut d'une colline proche, une centaine d'hommes à cheval attendait, contemplant ce répugnant spectacle de mort. Le sang jaillissait de toute part, coulant et luisant sur les lames des sabres ou sur les armures, se répandant sur le sol pour finalement remplacer la couleur verdoyante de l'herbe... A la tête de cette centaine de cavaliers se trouvait un autre homme, sans doute le capitaine ou le général. Ses longs cheveux noirs ondulaient derrière lui au rythme du vent qui faisait frémir les feuilles des arbres lointains. Regardant ses hommes progresser dans les lignes ennemis loin devant, ses yeux bleus scintillaient, tels des éclairs tombés de nuages orageux. Son cheval blanc commençait à s'impatienter. Vêtu d'une puissante armure, il portait un grand sabre dans son dos, et sur la base de la lame étaient gravées les armoiries des Yazanho. Le général à la tête de cette troupe de cavaliers gardait son calme, mais s'inquiétait secrètement du sort de ses hommes qui luttaient, là-bas. Car même s'ils gagnaient, il avait des amis parmi eux, qui pouvaient très bien y laisser leur vie... Les cavaliers commençaient eux-aussi à s'impatienter. Ils ne pouvaient pas laisser les fantassins se débrouiller seuls, et souhaitaient bien leur apporter un peu d'aide pour la fin, histoire, d'épargner plus de vies de Dara. Mais qu'attendaient-t-ils, ces cavaliers et leur meneur ? Ce qu'ils attendaient pour attaquer se produisit peu de temps après.
Au loin, à un bon kilomètre d'eux sur une autre colline en face, de l'autre côté du champ de bataille qui se déroulait au cœur de la vallée, un feu s'alluma soudain, semblable à un petit scintillement. Là-bas se trouvaient le restant de l'armée, et c'était Hitsuhi, père du général des cavaliers et chef du clan Yazanho, qui donnait ce signal. C'était le signal de l'attaque.
Soudain, le général Anûko vit près de cette minuscule flamme une autre centaine de cavaliers se déverser sur le flan de la colline, tels une colonie de fourmis guerrières. Il était temps. Le général Anûko sortit alors son sabre de son fourreau et poussa un hurlement sonore, puis s'élança sur son cheval vers le champ de bataille, suivit de ses videlles cavaliers qui crièrent à leur tour. Il était temps, la charge était lancée. Ce devait être ça, prendre à revers.

Il y eut un terrible fracas et des hurlements de douleur, de hargne, et de colère. Les cavaliers venaient de frapper de plein fouet les flancs ennemis, lances tendues. Le carnage commença. Les sabres fendirent l'air, des hommes tombèrent au sol, et les moins chanceux furent tués avant de descendre de leurs chevaux. Mais la victoire pour le Pays Dara était assuré. Les cavaliers descendirent de leurs montures et sortirent leurs armes. Coup après coup, ils diminuèrent le nombre de leurs ennemis. Et parmi eux se trouvait le général Anûko du clan Yazanho.
Le ninja sortit soudain une dizaine de shurikens et les lança au hasard vers les troupes ennemies, là ou il était certain de ne pas toucher l'un de ses hommes au passage. Les soldats adverses étaient encore très nombreux, il ne risquait pas de manquer ses cibles. Il brandit son sabre et frappa en verticale vers la tête d'un ninja devant lui, mais celui-ci para le coup avec son propre sabre. Le général donna alors un violent coup de pied direct dans le ventre de son ennemi pour le faire reculer, sortit un kunai, et lui trancha la gorge. Ce n'étaient que des soldats de basse catégorie, des hommes qui apprenaient à se battre en phalange et qui ne développaient pas leurs capacités personnelles. Le général se retourna d'un seul coup et frappa de son sabre, tranchant alors un ennemi au bras. Il enchaina ainsi ses coups sur ces adversaires médiocres. L'un d'entre eux fonça vers lui sabre levé, mais Anûko lui plaça son bouclier en pleine figure pour le projeter en arrière, puis le transperça de son sabre. Une seconde plus tard, il prit sa lance avec sa main droite désormais inoccupée, sauta par dessus le corps de cette dernière victime, et planta la pointe dans l'épaule de l'homme qui se trouvait juste derrière. Se retournant, il reprit son sabre dans le ventre du cadavre, s'accroupit pour éviter une lame qui le frôla d'un centimètre, se retourna et coupa ce qui semblait être une jambe... Ainsi se déroula cette bataille sanglante.

Vingt minutes passèrent. Les soldats ennemis avaient reçu des renforts par le sud, prenant par surprise les troupes de Dara. Immédiatement, les hommes du général Anûko firent face, sabres brandis, et foncèrent à l'attaque. Anûko était en tête et porta le premier coup contre ces nouveau arrivants. Il transperça à la poitrine l'un de ces ennemis, puis son instinct le poussa alors à se baisser au plus vite. Une lame passa au dessus de sa tête, tuant un second homme devant Anûko. Ce dernier se retourna et vit son grand frère Yamelho qui lui adressa un grand sourire avant de repartir à l'attaque. Anûko et son frère se connaissaient par cœur et formaient ainsi un parfait binôme. Ils se mirent l'un à côté de l'autre, tuant ennemi après ennemi, pensant toujours à se protéger mutuellement. Lorsque Anûko voyait un ennemi frapper Yamelho alors que ce dernier était de dos, il assommait l'agresseur d'un coup de bouclier dans le visage avant de le transpercer, et Yamelho en faisait de même. Ils formaient un duo parfait. Bien rapidement, le nombre des renforts se diminua. De toute évidence, la bataille était gagnée pour Dara bien avant l'arrivée en scène du général et de ses hommes. Mais alors, Anûko ressentit soudain quelque chose... Un chakra qui n'avait rien à faire ici, trop puissant pour faire partit de ces adversaires médiocres. Il se tourna dans la direction ou il ressentait cette puissance, et fixa le sommet d'une colline. Là-haut, sept hommes en noir regardaient la bataille. Anûko sentait chez eux une aura hostile et malfaisante... Mais il dû en revenir à son combat et manqua de se faire décapiter de justesse.

En haut de la colline, sept hommes vêtus de capes noires regardaient ce magnifique spectacle ensanglanté.
"On passe dans cette région par pur hasard, et on tombe sur une bataille rangée. Incroyable, quand même. Serait-ce réellement la guerre partout ?"
"Certains d'entre eux ont un chakra assez puissant, ce serait dommage de passer à côté d'une petite occasion de s'amuser..."
"En plus, ils ont le malheur de se trouver précisément sur le chemin qu'on avait prévu d'emprunter, vraiment pas de chance..."
"Les autres fois, c'est vous qui vous êtes amusé. Pour une fois, laissez-moi le beau rôle !"
L'un des sept hommes forma un signe avec ses mains et se volatilisa aussitôt.
"Pfft... Ce sont toujours les plus faibles qui se vouent à des combats inutiles... Il me fatigue, mais à un point..."
"Il a que de la gueule. Avec moi, ce serait déjà terminer depuis longtemps et tous ces misérables insectes qui se battent là-bas seraient pulvérisés..."
"Tu n'as aucun goût pour les bonnes choses, mon cher. Il faut savourer l'instant ou l'on hôte la vie d'un homme... Le savourer avec plaisir..."
Les six hommes restèrent là et attendirent la suite des évènements.

La bataille se déroulait toujours violemment. A présent, Anûko et Yamelho étaient rejoins par leur père Hitsuhi. Ensembles, ils étaient plus efficaces que toute leur armée réunie. Le général Anûko forma un signe avec ses mains, et des flammes l'entourèrent aussitôt au niveau de ses genoux, puis filèrent vers les ennemis. Les flammes grandirent alors jusqu'à atteindre trois mètres de hauteur en formant un cercle autour d'une dizaine d'hommes. Alors, Yamelho forma lui même un signe et projeta une gigantesque bourrasque puis la transforma en tornade autour du cercle de feu de son jeune frère. Les flammes grandirent aussitôt, se changea en un grand cyclone incandescent, tuant en un instant une vingtaine d'hommes, dont ceux au milieu de la technique. Mais alors, un homme en noir apparu juste devant eux, une épée démesurée et très fine sur son épaule. D'un mouvement, il frappa vers les trois hommes qui eurent le bon sens de se baisser. Cette épée mesurait plus de deux mètres de long, mais l'homme la maniait apparemment avec habilité. Anûko sentit le puissant chakra chez cet homme, et reconnu alors en lui l'un des ninjas qu'il avait apperçu sur la colline au loin. Cet homme leva sa main gauche et retira son capuchon. Il avait de longs cheveux blancs hérissés et des yeux verts. Il ne devait pas avoir plus de trente ans. Et le général Anûko souhaitait se battre seul face à lui.

Formant un sceau avec ses mains, Anûko fit apparaître à côté de lui un unique clone de l'ombre, parfaire réplique de lui même. Ce clone se transforma alors en un énorme shuriken que le général d'origine prit à deux mains. Il le lança vers son ennemi de toutes ses forces. Bien trop puissant et rapide pour être dévié, le ninja en noir dû se baisser pour esquiver. Mais il s'aperçut alors que son adversaire avait utilisé une technique ninja pour camoufler un autre grand shuriken dans l'ombre du premier. L'homme aux cheveux blancs, la tête baissée, décrocha ses pieds du sol pour que ce second shuriken passe en dessous. Il esquiva donc en sautant entre ces deux projectiles. Les deux shurikens avaient raté leur cible et continuèrent leur course tout droit, blessant des hommes au passage. Le ninja brandit alors son immense épée et frappa.
Mais à cet instant précis, le premier grand shuriken se retransforma en clone, et ce clone passa sa main dans le trou au centre du second shuriken, le stoppant immédiatement. Il atterri au sol et le lança de toutes ses forces en direction opposée, droit vers l'ennemi. Celui-ci sentit alors la menace derrière lui, et s'apprêta à esquiver de nouveau. Mais Anûko Yazanho avait prévu tout son enchainement. De longues ficelles étaient reliées à ce shuriken depuis ses bras. il lança une décharge électraque dans ces fils, ce qui déclencha un mécanisme. Les quatre branches tranchantes du shurikens se détachèrent aussitôt, et Anûko les orienta vers l'ennemi. Mais ce dernier parvint à tous les esquiver. Il se retourna alors vers Anûko, et vit que ce dernier avait bondit vers lui, sabre levé. Cette fois, il n'avait le temps d'esquiver...

Il y eut un grand bruit métallique, et un hurlement sonore. Anûko fut projeté en arrière avec une forte douleur dans son bras gauche et s'étala sur le sol. En se redressant, il comprit alors qu'une grande chaine de fer tranchante lui avait agrippée le bras, s'enfonçant dans sa chaire. Il parcouru cette longue arme menaçante du regard, et vit à qui elle appartenait. Un deuxième homme se trouvait devant lui,juste à côté de celui aux yeux verts. Il tenait fermement cette chaine et tira un grand coup dessus. Anûko fut brutalement trainé par son bras, sa chaire déchiquetée...
"Vraiment... Si je n'étais pas intervenu tu serais certainement mort. Les autres se sont déjà occuper des autres plus fort."
Anûko entendit un grand cri d'effroi et reconnu la voix de son grand frère. Et il vit alors ce qui l'avait fait hurler. Leur père, Hitsuhi, gisait sur le sol le torse transpercé. Un autre homme en noir le regardait avec dédain, son sabre englué de sang.
Soudain, Yamelho se jeta vers l'assassin de leur père et engagea le combat. Mais Anûko, lui, était bloqué. Le possesseur de la chaine prenait plaisir à le trainer au sol, aggravant un peu plus sa blessures. Mais il y avait un détail que les hommes en noir avaient oublié. Le clone que Anûko avait créé pour son enchainement avec les shurikens n'avait toujours pas disparu. Une ombre apparue alors au dessus du ninja à la chaine, et un sabre frappa. Anûko sentit alors la chaine qui le retenait prisonnier tomber au sol. Son clone venait de couper d'un mouvement le bras du ninja avant d'enfin disparaître. Le général se redressa, le bras gauche ensanglanté, la chaine de toujours incrustée dans sa chaire. Il prit alors son propre sabre avec sa main gauche et fonça vers l'assassin de son père. Mais il arrivait trop tard. Une lame transperça le ventre de Yamelho, et celui-ci s'effondra. Anûko s'arrêta net, livide. Il venait de perdre toute combativité et regarda le corps de son grand frère. Il y eut soudain un éclair blanc, et le ninja tomba à la renverse. Des marques dorées apparurent le long du bras de Anûko, accompagnant la chaine. L'homme à la chaine qui avait perdu un bras venait de lancer un étrange rayon qui frappa le général au bras gauche.
"On doit partir... Mais il était hors de question que je te laisse t'en tirer comme ça ! Tu verras bien par toi même ce que je viens de te faire..."
Un autre homme en noir venait d'apparaître sur le terrain. Anûko vit briller deux yeux aux pupilles blanches. Puis cet homme forma un signe.
"En route, les Sept d'Odha. On s'est bien amusé, mais on a d'autres trucs à faire."
Tous les hommes en noir disparurent aussitôt.

La bataille continuait autour de Anûko, qui ne savait plus très bien ce qu'il faisait. Il se traina vers son grand frère qui semblait être encore vivant. Lorsqu'il arriva à lui, Anûko parvint à s'accroupir et mit doucement Yamelho sur le dos.
"Petit frère... Tu t'es bien battu aujourd'hui... Mais je crois que s'en est fini pour moi... Et pour notre père aussi."
Anûko commençait à complètement paniquer. Il demanda à son frère de ne plus parler, mais il n'y avait plus rien à faire.
"Ecoute, petit frère... J'ai une dernière requête... Ce sera la première et la dernière fois que je te demanderais quelque chose..."
Le général perdit toute force et contempla le visage mourant de son frère. Il ne pouvait plus que faire une seule chose, l'écouter.
"Survis... Et venge-nous, mon père et moi... Découvre l'identité de ces hommes, et venge-nous... Je sais que tu en es capable, petit frère."
Yamelho sortit alors difficilement quelque chose, une dague accrochée à sa ceinture.
"Cette dague... Hakuya. Elle est la clef des secrets sur notre clan... Secrets que seuls ceux qui sont censés succéder au trône des Yazanho peuvent connaître... Je t'en fait le cadeau, tout comme père le fit pour moi, et comme son propre père en fit de même... Apprend à te servir de cette arme, et alors, tu pourras nous venger... Je n'ai pas le temps de t'en dire d'avantage, petit frère..."
Les yeux pâles de Yamelho se posèrent sur le bras gauche ensanglanté de son jeune frère, recouvert de cette chaine de fer.
"Tu ne parviendras jamais à rentrer en vie dans cet état... Voici... Le dernier cadeau que je peux te faire."
D'un mouvement vif, geste qui contenait toutes les dernières forces de Yamelho, il posa sa main sur bras de Anûko. Il y eut un flash aveuglant, puis la douleur disparue. La chaine resta accrochée au bras, mais cela ne saignait plus. Anûko pouvait le bouger librement. Les gravures dorées restèrent là, mais cela n'avait aucune importance en cet instant.
"Tu es... devenu plus fort que moi... Toi, tu pourras nous venger... Maintenant adieu... Anûko..."
Une larme tomba sur le visage désormais sans vie de Yamelho. Anûko ne bougeait plus, des larmes coulant d'elles mêmes de ses yeux bleus. Il serrait contre lui la dague Hakuya, dernier souvenir qu'il aura de son grand frère Yamelho.

FIN

Je te valide tu peux aller faire ta fiche ninja et n'oublie pas de lire les règles